Description
Qu’est-ce qu’un probiotique ?
Les bactéries symbiotiques de notre intestin sont arrivées dès notre sortie du ventre maternel. Elles l’ont colonisé rapidement, en créant un milieu anaérobie grâce à une naissance naturelle et grâce au lait maternel qui a diffusé à profusion toutes les bactéries nécessaires à notre digestion, notre immunité et notre équilibre psychologique.
Les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui colonisent la flore buccale, intestinale et vaginale. Les plus connus sont les bactéries lactiques qui produisent l’acide lactique, telles que les espèces Lactobacillus et Bifidobacterium, qui sont utilisées pour la conservation de la nourriture par fermentation depuis des milliers d’années (légumes, céréales, viandes, etc) . Soigner son microbiote intestinal, c’est prendre soin de sa santé.
La plupart des probiotiques vendus actuellement sont de souche animale, porcine ou autre. Très peu de labo nous fournisse de véritables probiotiques de souche humaine les seuls compatibles et capables de ré-ensemencer vraiment notre écosystème intestinal.
Par ailleurs pour une meilleure implantation dans les intestins et pour qu’ils s’y fixent de manière durable, l’apport d’oligo éléments sous forme d’eau de mer isotonique est fortement conseillé. Sans quoi dès l’arrêt des prises de probiotiques, les intestins sont de nouveau en carence et en souffrance.

microscopique bactéries bleues
Quelle est la particularité du L Gasseri ?
Le Lactobacillus Gasseri est une souche probiotique qui provient à l’origine de l’indispensable lait maternel.
Description
Lactobacillus gasseri est est une bactérie lactique, gram-positive, anaérobie :
- homofermentaire obligatoire (produit exclusivement de l’acide lactique à partir du glucose)
- la plupart des souches peuvent fermenter l’amidon
- sa position phylogénétique est dans le groupe des Lactobacillus delbrueckii
Lactobacillus Gasseri est une souche probiotique qui a la capacité unique de favoriser la perte de poids.
Des chercheurs japonais ont mis en évidence des bienfaits du Lactobacillus Gasseri sur la perte de poids. Ils ont mené une étude dont l’objectif était d’examiner son impact sur l’obésité. L’essai clinique a été mené sur 87 sujets ayant un surplus important de graisse abdominale. En quelques semaines seulement, les sujets avaient perdu en moyenne 4,6 % de graisse abdominale et 3,3 % de graisses sous-cutanées. Leur poids avait diminué de 1,4 % et leur tour de taille de 1,8 %.
L’implantation de Lactobacillus Gasseri dans l’intestin aide ainsi naturellement à :
- rééquilibrer et entretenir la flore intestinale ;
- renforcer le système immunitaire
- faciliter la digestion et l’élimination des graisses
- améliorer le métabolisme pour stocker moins de graisses
- favoriser la perte de poids.
Colonisation des muqueuses et protection contre les pathogènes
L. gasseri colonise le système digestif et le vagin de personnes en bonne santé où elle joue un rôle protecteur contre les infections.
Activité antimicrobienne
Les bactéries lactiques ont le pouvoir d’éliminer ou d’inhiber la croissance de certains micro-organismes en produisant des bactériocines. La bactériocine la mieux caractérisée de L. gasseri est isolée de fèces de bébé. L’activité antimicrobienne in vitro de L. gasseri LA39 a été établie pour les pathogènes Listeria monocytogenes, Bacillus cereus et Staphylococcus aureus. Une autre souche, L. gasseri encode aussi deux séquences de bactériocines.. Elles inhibent Listeria innocua, S. aureus, et beaucoup d’espèces de Clostridium.
Comme toutes les bactéries lactiques, L. gasseri produit des acides organiques. Elle métabolise le glucose en acide lactique capables d’inhiber les pathogènes en provoquant chez ceux-ci une acidification intracellulaire.
L. gasseri a révélé les mécanismes de base pour survivre dans le tractus gastro-intestinal et la capacité à se fixer sur le mucus. Les gélules gastro résistantes sont donc inutiles.
Colonisation du système gastro-intestinal
L. gasseri colonise amplement différents microbiotes des muqueuses de l’homme : la bouche, l’intestin grêle et le colon, le vagin de la femme et de manière précoce le tractus gastro-intestinal du nourrisson. Le tube digestif stérile in utero du nouveau-né est contaminé par les bactéries fécales, vaginales et cutanées de la mère lors de l’accouchement. Il a été montré que L. gasseri est le micro-organisme prévalent dans le début de la colonisation du tractus gastro-intestinal du nourrisson.
Colonisation de la muqueuse vaginale
Le microbiote vaginal humain est un écosystème complexe qui peut être dominé par un petit nombre de Lactobacillus. C’est le cas de la bactérie L. gasseri, important dans la muqueuse vaginale qui la protège des infections. Sa colonisation permet de développer une résistance contre les pathogènes par une inhibition directe grâce à la sécrétion d’acide lactique, de bactériocines et de peroxyde d’hydrogène.
Modulation du système immunitaire
Le système immunitaire intestinal s’est développé sous la pression des micro-organismes infectieux mais aussi des bactéries et levures hôtes du tube digestif. Les mêmes bactéries et levures ont la capacité potentielle de provoquer une réaction inflammatoire des muqueuses des poumons ou de la vessie. Une simple couche de cellules épithéliales tapisse de manière très serrée le tube digestif. Elle a la délicate fonction d’absorber les nutriments tout en formant une barrière physique et chimique empêchant la pénétration de certaines molécules et des pathogènes.
Les micro-organismes probiotiques administrés par voie orale modulent le système immunitaire. Les cytokines activées vont gouverner la prolifération et le différentiation des lymphocytes T.
Étude in vitro
L. gasseri dans la lumière de l’intestin interagit avec une cellule dendritique. Celle-ci produit des cytokines activant des lymphocytes et macrophages.
Une étude in vitro de cellules dendritiques myéloïdes humaines exposées à trois souches de lactobacilles (dont L. gasseri) a trouvé des sécrétions importantes de quelques cytokines : les interleukines et un interféron .
Conditionné en pot en verre de 15g soit 15000mg pour 1 à 2 mois de traitement ;
Prise à jeun le matin et/ou au coucher 1 à 2 dosettes avec un verre d’eau à température ambiante.
Il faut le prendre le plus loin possible des repas. La dosette est fournie, elle a une contenance de 250mg qui apporte 50 à 100 milliard d’UFC (Pour Unité Formant Colonie. Il s’agit de l’unité permettant de dénombrer les bactéries vivantes. Une UFC correspond à une colonie).
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